Les chevaux [poésie du dimanche soir !]
Près de la mare bleue, quand vient le soir
Les chevaux d’or abandonnent leurs ailes
Se penchent doucement, l’eau étincelle
Ils ouvrent leurs naseaux en deux ronds noirs
Et boivent à longs traits dans ma mémoire…
Les chevaux d’or abandonnent leurs ailes
Se penchent doucement, l’eau étincelle
Ils ouvrent leurs naseaux en deux ronds noirs
Et boivent à longs traits dans ma mémoire…