Les femmes (je vous aîîîîiiime !)
Les femmes
[petite chanson sans prétention]
_L'autre, y nous fait son Julien Clerc, feeeeemmmes, je vous aiiiiiiiime…
Les femmes dans les vitrines
Les femmes qui jouent du tambourin
D'autres qui brillent comme des sardines
A chaque fois qu'elles se maquillent
Pour simplement prendre le train
Les femmes dans les usines
Usées de gestes et d'habitudes
Les femmes-pages des magazines
Au-delà de ce qu'on imagine
Être l'ultime féminitude
Les femmes au ventre vide
Sans avoir sauté de repas
Le visage mort, tordu, livide
Les larmes diluées d'acide
Pour un qui ne viendra pas
Pas une n'est fée ni à faire
Chacune à sa manière
Mais toutes sous la bannière
De la féminité
Sans cesse réinventée
Les femmes mariées, déjà maman
Qui séduisent soudain avec bonheur
Maintenant qu'assez grands les enfants
La sage épouse prend un amant
Et redécouvre son cœur
Les femmes qui aiment les objets
Comme s'ils étaient elles-mêmes
Les couleurs seraient mes sujets
Et l'amour quelque chose que j'ai
En moi et qu'il faudrait qu'on aime
Les femmes qui sont anatomiques
Aux trop parfait attirail
Sans silicone ou wonderbrique
Les femmes qui sont plus onyriques
Que la plus rare des victuailles
Pas une n'est fée ni à faire
Chacune à sa manière
Mais toutes sous la banière
De la féminité
Sans cesse réinventée
Les femmes qui sont sceptiques
Qui ne savent pas se décider
Les femmes qui vous l'expliquent
L'écoute, leur est magique
Les femmes que vous aidez
Les femmes aux nuques blanches
Comme des éclaircies
Les femmes qui sur les planches
D'un seul mot vous déclenche
Une léger instant d'asphyxie
Les femmes aussi qu'on baise
A chaque fois qu'elles veulent
Qui nous remue la braise
Les femmes qui nous apaise
Notre peur d'être seul
Pas une n'est fée ni à faire
Chacune à sa manière
Mais toutes sous la banière
De la féminité
Vécue à nos côtés
[petite chanson sans prétention]
_L'autre, y nous fait son Julien Clerc, feeeeemmmes, je vous aiiiiiiiime…
Les femmes dans les vitrines
Les femmes qui jouent du tambourin
D'autres qui brillent comme des sardines
A chaque fois qu'elles se maquillent
Pour simplement prendre le train
Les femmes dans les usines
Usées de gestes et d'habitudes
Les femmes-pages des magazines
Au-delà de ce qu'on imagine
Être l'ultime féminitude
Les femmes au ventre vide
Sans avoir sauté de repas
Le visage mort, tordu, livide
Les larmes diluées d'acide
Pour un qui ne viendra pas
Pas une n'est fée ni à faire
Chacune à sa manière
Mais toutes sous la bannière
De la féminité
Sans cesse réinventée
Les femmes mariées, déjà maman
Qui séduisent soudain avec bonheur
Maintenant qu'assez grands les enfants
La sage épouse prend un amant
Et redécouvre son cœur
Les femmes qui aiment les objets
Comme s'ils étaient elles-mêmes
Les couleurs seraient mes sujets
Et l'amour quelque chose que j'ai
En moi et qu'il faudrait qu'on aime
Les femmes qui sont anatomiques
Aux trop parfait attirail
Sans silicone ou wonderbrique
Les femmes qui sont plus onyriques
Que la plus rare des victuailles
Pas une n'est fée ni à faire
Chacune à sa manière
Mais toutes sous la banière
De la féminité
Sans cesse réinventée
Les femmes qui sont sceptiques
Qui ne savent pas se décider
Les femmes qui vous l'expliquent
L'écoute, leur est magique
Les femmes que vous aidez
Les femmes aux nuques blanches
Comme des éclaircies
Les femmes qui sur les planches
D'un seul mot vous déclenche
Une léger instant d'asphyxie
Les femmes aussi qu'on baise
A chaque fois qu'elles veulent
Qui nous remue la braise
Les femmes qui nous apaise
Notre peur d'être seul
Pas une n'est fée ni à faire
Chacune à sa manière
Mais toutes sous la banière
De la féminité
Vécue à nos côtés
Message privé :
Tom, si tu lis ça, c'est une chanson !
A toi de jouer si ça te parle !
(Tom est musicien et il veut
peut-être qu'on travaille ensemble.
Visiblement, ça m'inspire !!!)
Tom, si tu lis ça, c'est une chanson !
A toi de jouer si ça te parle !
(Tom est musicien et il veut
peut-être qu'on travaille ensemble.
Visiblement, ça m'inspire !!!)
[Strophes spéciales pour Nicolas
qui lit même la pohèzie, je l'en remercie !
Les femmes aux seins mirobolants
Qui nous débordent des doigts
Ou qui nous laissent les bras ballants
Les femmes au cul tout blanc
Que même dans l'noir on l'voit
Les femmes avec les reins offerts
Qui apprécient d'être prises
D'être baisées par derrière
Afin que leur soit offert
Tout mon plaisir et sa surprise].
qui lit même la pohèzie, je l'en remercie !
Les femmes aux seins mirobolants
Qui nous débordent des doigts
Ou qui nous laissent les bras ballants
Les femmes au cul tout blanc
Que même dans l'noir on l'voit
Les femmes avec les reins offerts
Qui apprécient d'être prises
D'être baisées par derrière
Afin que leur soit offert
Tout mon plaisir et sa surprise].